Nous sortons d’une année atypique, cependant l’équipe d’ERA Châtelain reste positif et regarde l’avenir avec ambition. Voici nos 5 tendances immobilières pour 2021.
1. Changement des critères de recherche
Ce n’est pas un secret : le coronavirus a augmenté le désir de posséder une habitation. Et pas n’importe laquelle. En effet, les acheteurs se dirigent essentiellement vers des biens disposant d’un espace extérieur, ou tout du moins située à proximité d’un parc agréable. Plus que jamais, on redécouvre la valeur de posséder son propre chez-soi, et l’environnement joue un rôle important à cet égard.
L’aménagement doit aussi être multifonctionnel, avec ces nouveaux défis comme le travail à domicile, les enfants plus présents, et surtout l’obligation de rester chez soi, les tendances s’imposent d’elles-mêmes : Une habitation plus spacieuse, plus grande aussi, avec un espace de travail supplémentaire et pourvue d’un petit extérieur.
2. Un faible taux d’intérêt pour les crédits hypothécaires
3. Malgré une augmentation des prix, l’achat d’un bien reste abordable
Les prix des biens ont augmenté de 5,93% en 2020, ce qui est la plus forte augmentation depuis 2006. C’est également la sixième hausse de prix d’affilée. Simultanément, les prix des appartements ont augmenté en moyenne de 4,86% en 2020. Pour en savoir plus, consultez notre Baromètre ERA.
Une bonne nouvelle pour les investisseurs, un peu moins bonne pour les candidats-acheteurs ?
Les points 1 et 2 de cette liste des tendances immobilières jouent un rôle prédominant dans cette évolution et il faut également prendre en compte le fait qu’il n’y a jamais eu autant d’argent sur les comptes épargne en Belgique. Tout comme les augmentations de salaire ou un schéma de dépenses différent.
4. Une optimisation plus intelligente
La société bouge ! Une période de crise fait toujours réfléchir. Les gens changent de cap, envisagent de nouvelles options ou prennent des mesures qu’ils ont longtemps repoussées. Également dans l’immobilier.
L’année 2020 nous a appris de nombreuses choses sur les villes et la façon dont nous y vivons. Peut-être cela conduira-t-il à des interventions plus rapides pour rendre notre environnement de vie aussi agréable et fonctionnel que possible ?
Les nouvelles villes intelligentes, où tout est analysé à l’aide du big data, peuvent certainement y contribuer. Une mobilité durable, moins d’émissions de CO2, moins de déchets, une utilisation plus efficace de l’eau et de l’énergie, une meilleure qualité de l’air… sont autant de conséquences directes d’une utilisation plus intelligente des informations et des technologies disponibles.
Et ça, ce n’est pas une prévision, mais bien une certitude. Ils étaient déjà au top et ils s’améliorent encore chaque année. Nos démarches reposent sur une recherche constante d’amélioration de nos services. Pendant la crise, nous ne sommes pas restés inactifs et les circonstances nous ont mis au défi de chercher et trouver de nouvelles solutions. Mais notre ambition est toujours la même : répondre aux souhaits de nos clients en matière de logement.
Et c’est probablement la raison pour laquelle nous avons vendu plus de 220 habitations à Bruxelles et réalisé quelque 350 transactions de location en 2020.
Une période de crise entraîne toujours des changements. Et dans ce cas, des améliorations.